国产三级无码
地区:印度
  类型:黑色
  时间:2024-09-20 01:30:18
剧情简介

不得志的日本画家岛村(池部良 饰)在全国各地游历,国产途中经过一个名为雪国的地方。在当地的温泉旅馆,国产他邂逅了19岁的三味线女艺人驹子(岸惠子 饰)。驹子美丽清纯,俏皮可爱。岛村感于这个女孩的纯洁,虽心有爱慕,却始终不愿玷污这块美玉。在离开雪国返回东京的前夕,这两个互相欣赏却身份悬殊的人终于摆脱束缚,结合在一起。次年,思念驹子的岛村回到雪国,此时的驹子为了报答三味线老师的养育之恩,而甘愿成为艺妓赚钱为老师的儿子行男治病。一同照顾行男的少女叶子(八千草薰 饰)爱慕行男,她嫉恨驹子在未婚夫行男和恩客岛村之间的摇摆不定。当然,这也令岛村心中骤起波澜。两人第二次的相会便在尴尬的气氛中结束,他们的爱情终将何去何从……本片根据日本作家川端康成同名中篇小说改编。

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明星主演
江彬
林宥嘉
李珊
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珍妮弗洛佩兹

发表于9分钟前

回复 :百年前,士兵费德里科在博比奥,被一名修女诱惑,百年后,调查员费德里科来到博比奥,发现这里住着一位只在夜间活动的老爷子。影片由意大利国宝级导演马可·贝罗奇奥执导,其曾获威尼斯电影节终身成就奖,此次以《吾血之血》入围第72届威尼斯电影节主竞赛单元,角逐金狮大奖。


查娜

发表于3分钟前

回复 :由于俊雄多日未到学校上课,他的班主任小林俊介(柳忧怜 饰)赶来家访,看到精神恍惚、举止怪异的俊雄,并获悉川又伽椰子对自己的心意。这时他接到佐伯刚雄的电话,得知怀孕的妻子已被对方残忍杀害,与此同时,被杀死的伽椰子也出现他的面前。惨案不久,通灵者铃木响子(大家由佑子 饰)受经营地产中介的弟弟达也(芦川诚 饰)之托调查佐伯家房子的情况。响子向弟弟提出忠告,但她很快便发现厄运已经找到她和侄子信之的头上。另一方面,购买这幢房子的北田夫妻也开始了他们恐怖诡异的生活。咒怨不灭,死者连连……本片为咒怨系列OV版第二部。


郭静

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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